Dans les frondaisons d’un grand arbre, apparaît la silhouette d’un monument qui n’est autre que le viaduc en brique, sans doute celui de Barentin en Normandie, ouvrage d’art sur la ligne ferroviaire Paris-Saint-Lazare – le Havre que l’artiste, havrais de naissance, avait l’habitude d’emprunter.
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Cet élément architectural devient dès 1925 un élément décoratif pour les tentures qu’il réalise pour le couturier Paul Poiret, comme plus tard pour la décoration qu’il peint pour l’Altana (1926-1927), demeure des Weisweiler, et enfin pour la tapisserie d’Aubusson le Bel été de 1941. Il transforme comme toujours une référence classique, en l’occurrence le temple circulaire de Sybille à Tivoli qui émaille les tableaux de Claude Gellée dit le Lorrain, en référence moderne.
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